Introduction

Dans un monde où l’on dit souvent aux femmes vieillissantes que leurs meilleures années sont derrière elles, Glynnis MacNicol défie les attentes. Ses mémoires, qui ont pour toile de fond un Paris anormalement calme en août 2021, témoignent de la force de la vie à tout âge.

Le cadre

Paris, la ville lumière, dépourvue de ses habituelles foules de touristes, devient un terrain de jeu pour MacNicol. Les rues désertes et les monuments emblématiques constituent une toile unique pour son voyage de découverte de soi et d’indulgence.

Le voyage

Après avoir enduré seize mois de solitude dans son appartement de Manhattan, MacNicol saisit l’occasion de sous-louer l’appartement d’une amie à Paris. Il s’ensuit une exploration du plaisir et de la joie, des promenades à vélo à minuit et de la danse sur la Seine à la dégustation de fromages fondants et à la déambulation dans le Louvre.

L’expérience

Son séjour à Paris est rempli d’amitiés inattendues, de romances et d’une redécouverte de l’estime de soi. Le récit de MacNicol est à la fois intime et universel, remettant en question les normes sociétales sur le vieillissement et la féminité.

Le message

Dans l’esprit de Nora Ephron et de Deborah Levy, ces mémoires sont plus qu’un simple récit personnel ; c’est un appel à faire des plaisirs de la vie un acte politique. L’histoire de MacNicol est la preuve que se faire plaisir n’est pas seulement possible, mais essentiel.